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Dans les grandes maisons d'couture
Y'en a qui sont trottins,
Y'a des vendeuses et par nature
Y'en a qui sont mann'quins,
Y'en a qui font des corsages,
D'autres qui font des surjets.
Moi, mesdames, messieurs, mon ouvrage
C'est d'faire des robes en biais.
Pour bien biaiser une robe, ma foi
Y'en a pas deux, pas deux comme moi.
Dans les grandes maisons d'couture,
Y'en a qui sont trottins
Y'a des vendeuses et par nature,
Y'en a qui sont mannequins
Y'en a qui font des corsages,
D'autres qui font des surjets
Moi, mesdames, messieurs, mon ouvrage,
C'est d'faire des robes en biais
Pour bien biaiser une robe, ma foi,
Y'en a pas deux, pas deux comme moi
La chanson originale date de 1912. Je n'ai par contre pas trouvé qui l'avait créée. Peut-être l'un ou l'autre de ses auteurs ?
Le parolier Léo-Félix Lelièvre était un "pilier" du Bataclan et fonda le "Caveau du Cercle" au Quartier Latin.
C'est Mademoiselle Allems qui l'a créée en 1912. Par contre, la première interprète à l'avoir enregistré sur disques vinyle est, à ma connaissance, Annie Cordy.
Autrement, en ce qui concerne Marie-Paule Belle, c'est l'un de ses derniers grands succès avant sa période synthé (Dans laquelle il n'y a aucun succès d'ailleurs) et dont le point culminant est sûrement "Chez Pivot" en 87. Ensuite, en 89, elle enregistre un album chez AB avant de se retirer pendant 6 ans et de réapparaître avec succès au Casino de Paris en 95.
Y'a un jeu de mot, là , non ? :P
Sinon, corrections (j'ai recopié l'intégralité, comme ça on a les ponctuations et les corrections ^^ et vu que le refrain n'est répété qu'une fois, j'ai préféré l'inclure… à vous de voir ^^) :
Je suis biaiseuse chez Paquin,
Pour mon métier, j'ai le béguin
Les veillées, c'est tout mon bonheur,
J'suis pas pour la journée d'huit heures,
Et le travail de nuit ne m'fait pas peur
Avec ardeur, avec entrain,
Je biaise du soir au matin
Quand mes parents m'voient pas rentrer,
Y disent : « Y'a pas à s'inquiéter,
Elle est encore entrain d'biaiser. »
Dans les grandes maisons d'couture,
Y'en a qui sont trottins
Y'a des vendeuses et par nature,
Y'en a qui sont mannequins
Y'en a qui font des corsages,
D'autres qui font des surjets
Moi, mesdames, messieurs, mon ouvrage,
C'est d'faire des robes en biais
Pour bien biaiser une robe, ma foi,
Y'en a pas deux, pas deux comme moi
Je suis biaiseuse chez Paquin,
Pour mon métier, j'ai le béguin
Les veillées, c'est tout mon bonheur,
J'suis pas pour la journée d'huit heures,
Et le travail de nuit ne m'fait pas peur
Avec ardeur, avec entrain,
Je biaise du soir au matin
Quand mes parents m'voient pas rentrer,
Y disent : « Y'a pas à s'inquiéter,
Elle est encore entrain d'biaiser. »
Je vais m'établir bien vite,
Me marier, quel bonheur
Avec un garçon plein d'mérite,
Qui est ouvrier plisseur
Pour nous installer à l'aise,
Comme nous n'avons pas l'sous,
Je biaiserai d'abord sur une chaise,
Et lui plissera tout d'bout
L'essentiel, c'est qu'y ait pas d'retard,
Qu'on dise pas que j'biaise en canard
Je suis biaiseuse chez Paquin,
Pour mon métier j'ai le béguin
C'est ça qui s'ra gentil, ma foi,
On fera tout l'ouvrage chez soi,
En s'entraidant comme chacun le doit
Avec ardeur, avec entrain,
On se partag'ra le turbin
Afin de n'pas nous esquinter,
Lorsque j'aurai fini d'biaiser,
C'est lui qui s'mettra à plisser
[Corrections :]
"Je suis biaiseuse chez Paquin /Je biaise du soir au matin" --> "Je suis biaiseuse chez Paquin / Pour mon métier j'ai le béguin"
"Et lui plissera tout doux" --> "Et lui plissera tout d'bout"
"Nous nous partagerons le turbin" --> "On se partagera le turbin"
Y'aurait-il autre chose à comprendre dans cette chanson… ?
Après avoir vérifié le texte par la lecture et l'écoute, je confirme qu'il n'y a ni 'i' ni 'l' en trop dans les paroles…
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