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Quand la neige à gros flocons
Vient poser sur la nature
Son blanc manteau de coton
Dans nos bottes et nos fourrures
Nous partons le matin tôt
Pour une balade en traîneau
Filez, filez, troïkas
Dans le vent froid du matin
Glissez, glissez, troïkas
La steppe n'a pas de fin
Laïlalaïlalaï…
Nous partons tout doucement
Les traîneaux glissent légers
Traçant de longs sillons blancs
Sur l'immensité nappée
Les grelots joyeusement
Tintent et chantent dans le vent
Filez, filez, troïkas
Dans le vent froid du matin
Glissez, glissez, troïkas
La steppe n'a pas de fin
Laïlalaïlalaï…
Mais parfois on fait la course
Avec Boris, Natacha
En s'excitant bruyamment
Passera, passera pas
On a tous un peu la frousse
Mais plus vite que le vent
Le nez rougi par le froid
Nous sommes mieux que des rois
Dans nos petites troïkas
Laïlalaïlalaï…
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Commentaires
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2 commentaires
Claude BukowskiLe 06/02/2011 à 22:28
Plutôt qu'une composition, il s'agit vraisemblablement d'une adaptation d'une chanson populaire russe, mais je n'arrive pas à trouver laquelle. Ça sent bon les années 60 !
Dam-DamLe 09/03/2011 à 00:24
Les paroles de celle qui fait genre les Cahiers rouges de Grasset : [Merci !] ♫
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Plutôt qu'une composition, il s'agit vraisemblablement d'une adaptation d'une chanson populaire russe, mais je n'arrive pas à trouver laquelle. Ça sent bon les années 60 !
Les paroles de celle qui fait genre les Cahiers rouges de Grasset : [Merci !] ♫
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